Mary Elizabeth Truss, dite Liz Truss, née le 26 juillet 1975 à Oxford, est une femme d’État britannique. Membre du Parti conservateur, elle est Première ministre du Royaume-Uni du 6 septembre au 25 octobre 2022.
Selon Liz Truss, l’État travaille en profondeur en coulisses pour saboter le deuxième mandat de Trump à la Maison Blanche.
« Son deuxième mandat ressemblea beaucoup à mon mandat s’il ne affronte pas la bureaucratie enracinée », a écrit lundi Liz Truss dans un article d’opinion du Wall Street Journal, intitulé « L’État profond attend Trump ».
Infowars.com rapporte :
« Si les désastres des trois dernières années nous avons appris quelque chose, c’est que nous avons besoin d’un retour conservateur à la Maison Blanche », écrit-elle.
« L’Occident succombe aux défis de ses ennemis étrangers tout en étant miné de l’intérieur par la promotion des idéologies de gauche, de l’éco-extrémisme et du wokisme. Une victoire de Trump apporterait au monde occidental un leadership indispensable.»
« Mais même si le président Trump est réélu, sa bataille ne fera que commencer », a poursuivi Truss.
« Partout en Occident, en particulier dans le monde anglophone, le pouvoir s’est déplacé des titulaires de fonctions démocratiquement responsables vers des bureaucrates et des technocrates non élus. »
Let me tell you a story about an incumbent president with record-breaking economic success and an isolationist foreign policy who was crusinsing towards a second term despite being loathed by the deep state and then was suddenly hit with a black swan pandemic and race riots https://t.co/e2IfqBwLcb
— Auron MacIntyre (@AuronMacintyre) April 16, 2024
Traduction : Laissez-moi vous raconter l’histoire d’un président sortant avec un succès économique record et une politique étrangère isolationniste qui se dirigeait vers un second mandat malgré le fait qu’il était détesté par l’État profond et qui a ensuite été soudainement frappé par une pandémie de cygne noir et des émeutes raciales.
« L’État administratif a miné le premier mandat de M. Trump et a miné mon mandat de Premier ministre britannique, me forçant à quitter mes fonctions après 49 jours. »
La politicienne britannique explique en outre comment, à la veille de l’introduction d’un nouveau plan économique, la Banque d’Angleterre, en partenariat avec la banque centrale, a provoqué des troubles dans l’économie britannique qui ont finalement été imputés à l’administration.
Dès que j’ai annoncé mon intention d’instaurer une série de réformes du côté de l’offre, j’ai été marqué par l’extinction politique des technocrates. À la veille de la publication de notre plan de croissance, la Banque d’Angleterre a relevé ses taux d’intérêt, mais pas autant que prévu – un faux pas qui a provoqué une chute de la valeur de la livre sterling, entraînant une hausse des rendements des obligations d’État britanniques, connues sous le nom de comme des cochettes. La banque centrale a également annoncé son intention de vendre 40 milliards de livres sterling de Gilts ce soir-là, incitant les détenteurs d’obligations privées à anticiper la vente en inondant le marché de leurs propres Gilts ce soir-là.
« Ce sont des bureaucrates non élus qui ont provoqué cette crise du marché, mais les représentants élus ont été blâmés », écrit-elle.
« Ni moi ni le chancelier Kwasi Kwarteng n’avions été avertis avant que la situation des fonds d’investissement axés sur le passif n’explose. »
Lors d’une récente apparition sur Fox & Friends, Liz Truss a également souligné à quel point les troubles mondiaux étaient dus au fait que les dirigeants occidentaux, contrairement à Trump, faisaient preuve de faiblesse plutôt que de force sur la scène mondiale.
Former UK Prime Minister Liz Truss:
“The Free World felt safer when Donald Trump was in office.” pic.twitter.com/brUe83r3dy
— Proud Elephant 🇺🇸🦅 (@ProudElephantUS) April 16, 2024
« Eh bien, si vous regardez ce qui se passe en Ukraine, ce qui se passe en Israël, ce qui se passe à l’égard du régime chinois, la seule chose que ces régimes autoritaires respectent, c’est la force, et le fait est que l’Occident a fait preuve de trop de faiblesse. »
« Supprimer les sanctions contre l’Iran qui tente de renégocier un accord nucléaire. Je pense que ce n’était pas la bonne stratégie », a déclaré Truss, ajoutant : « et en fait, le monde libre se sentait plus en sécurité lorsque le président Trump était au pouvoir, parce que ces dirigeants avaient peur de ce que Trump pourrait faire. »
Source The People’s Voice avril 2024
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