Mystique

L’Union mystique des FEUX Sacrés révèle les portes secrètes du SON

L’Union de la Conscience du Soi Un à la Non-Conscience du pluri-Soi illimité, permet l’ouverture d’une « Stargate » intérieure, formée des 231 Sons vivants.

FEU NOIR SUR FEU BLANC

D’un point de vue mystique, les 22 lettres sont des vêtements d’énergies subtiles et ont pour fonction de matérialiser l’émanation de la lumière divine.

Ces forces sont le résultat d’un processus créateur, en 5 mouvements, généré par la Première Volonté, que l’on peut synthétiser de la manière suivante :

1er mouvement : avant la création était l’inconnu.


Ce «rien », ce « néant » est « Ain » (aleph iod noun final) situé hors du temps et de l’espace. Ain contient une non-existence, matrice de la Volonté suprême.

On peut permuter Ain (aleph iod noun final) en Ani (aleph noun iod) « je », donc le Non-Être généra ainsi une réaction existentielle.

2ème mouvement : la Volonté se concentra en un point sans dimension en absorbant le néant.

Ce point d’hyperconcentration s’appelle Tsimtsoum. Le vide créé pose une limite dans le néant du nom de « Sof » (samek vav phé final) « fin », dont le centre est Tsimtsoum.


Cet espace créé est « Ain-Sof » (sans fin) ou infini.

3ème mouvement : le point immatériel se concentra au point d’exploser en libérant une énergie prodigieuse appelée « Aur » (aleph vav reish) « lumière ».

Cette lumière, issue du rien, qui emplit et anime l’ensemble de l’Ain-Sof, porte le nom de « Ain-Sof-Aur » ( aleph iod noun final – samek vav phé final – alpeh vav reich) « Infinie Lumière ».

L’éclatement du point primordial produit des résidus, 22 étincelles comme les 22 chromosomes de la Création.

Chaque étincelle produit une vibration spécifique dans l’Infinie Lumière.

L’unisson des 22 vibrations représente la Parole première de la Création, comparable à une pièce vide et silencieuse, dans laquelle un musicien, par une Volonté spontanée, plaquerait un accord subtil, constitué de 22 notes, pour introduire la création d’une nouvelle oeuvre.

4ème mouvement : les 22 étincelles se combinent entre elles pour retrouver l’Unité originelle.

Cette attraction spontanée des étincelles installa la Loi d’Amour dans l’Ain Sof comme condition nécessaire à la réalisation de l’Unité.

L’union de 2 étincelles produit 2 vibrations AB = BA
3 étincelles 6 vibrations ABC = ACB = BAC = BCA = CAB = CBA
4 étincelles 24 vibrations etc…

Pour les sept doubles :
2 pierres bâtissent 2 maisons
3 pierres 6 maisons
4 pierres 24
…etc…
7 pierres 5040

Ces combinaisons structurent Ain Sof Aur (Infinie Lumière) par leur vibration, c’est ce que l’on appelle la Torah (Lois Naturelles Universelles).

Cette Torah est écrite avec des vibrations lumineuses et non avec des formes encrées.

5ème mouvement : l’apparition de la Lumière éveilla son opposé, les ténèbres.

Cette opposition aboutit à une dégradation de la lumière et à une densification ou solidification des vibrations.

On arrive ainsi de la vibration à la forme, figée dans l’épaisseur des ténèbres, en s’enveloppant dans l’encre noire, autrement dit en tant que lettres.

Les Lois Naturelles Universelles peuvent donc descendre dans les mondes inférieurs sous l’aspect d’une Torah écrite à l’aide des lettres de l’Aleph-Beith.

Les mystères de l’alphabet hébreu sont inclus dans un système philosophique cohérent, développé sur une très longue période.

La tradition considéra longtemps que ces enseignements devaient être gardés secrets, à l’abri des regards profanes, ainsi cette connaissance fut transmise oralement de maître à disciple. Les lettres servent à coder le message dans la Bible. Parfois, une ou plusieurs lettres sont absentes ou à l’inverse en trop. Les kabbalistes y voient un message caché à décrypter.

Encre noire sur papier blanc

Pour les kabbalistes, les lettres de l’alphabet hébreu incarnent l’énergie divine créant l’univers matériel.

En prononçant une lettre, nous éveillons son essence spirituelle.

Les lettres furent créées en premier et servirent à créer l’univers.

C’est la signification ésotérique de la première phrase de la Génèse :
(Beith Reich Aleph Shin Iod Tav – Beith Reish Aleph – Aleph Lamek Hé Iod Mem final – Aleph Tav)

» Au commencement Elohim créa « , c’est-à dire qu’il créa les lettres d’Aleph à Tav.

L’Univers fut créé par des combinaisons de lettres

Le Sepher Yetsirah dit que les 22 lettres fondamentales sont placées dans un cercle tel un mur ayant 231 portes pour chaque combinaison d’une lettre avec une autre.

Les 22 lettres ont dynamisé le cycle des 7 jours de la Création d’Aleph à Tav. D’ailleurs, 22/7 = 3,14.

La kabbale enseigne que des groupes de 3 lettres furent utilisés durant les 6 premiers jours de la Création.

Aleph est la marque du Créateur, en tant qu’initiale de « éh’ad » (aleph heith daleth) « un », et permet qu’il y ait un « Jour 1 ».

La création débute avec le Beith, initiale du mot «Béréshit » (beith reish aleph shin iod tav) (au commencement), contenant potentiellement les trois dernières lettres de l’alphabet: reish shin tav .

Le premier jour les lettres Beith Guimel Daleth furent utilisées,
le second jour, ce fut Hé Vav Zaïn,
le troisième jour H’eith Teith iod ,
le quatrième jour Kaf Lamed Mem ,
le cinquième jour Noun Samek Ayin , et
le sixième jour Pé Tsadé Qof.
Le septième jour l’ensemble des lettres fut réuni et provoqua le repos du Shabbath.

La guématria (que nous expliquerons plus loin) nous permet de découvrir la présence des 22 lettres à l’origine de la Création, en effet, la première phrase de la Génèse :
(au commencement Elohim créa les cieux et la terre) a pour initiales les lettres suivantes :
Beith Beith Aleph Aleph Hé Vav Hé
dont la somme est égale à 22 (2+2+1+1+5+6+5).

De plus, les trois premiers mots (au commencement Elohim) ont une guématria égale à celle de la phrase : « avec 22 lettres, Il créa Son monde »

Les lettres forment un ensemble de forces spirituelles et leurs combinaisons ont produit les cieux, la terre, etc…

Ces 22 lettres sacrées forment le vêtement de la Création et représentent les briques et le ciment de l’âme universelle, dont chaque individu représente une combinaison essentielle à l’harmonie de l’ensemble.

Les 22 lettres sont les éléments fondamentaux et la matière première nécessaires à toute opération de transformation, voire de transmutation spirituelle. Si la puissance contenue dans les lettres est une création divine, le nom et la forme de la lettre sont des créations humaines et, à ce titre, peuvent être manipulées par l’Homme selon certaines conditions.

Si l’on ne s’attache qu’à l’aspect extérieur de la lettre en tant que vocable, les textes sacrés ne sont plus que transcription humaine, sans différence selon les peuples. Il faut faire la différence entre un texte révélé, inspiré, ou rédigé. Seul le texte révélé de la Torah permet l’envol des lettres et de l’âme qui s’y attachent.

En hébreu, chaque lettre possède une nature individuelle et un nom désignant une qualité ou un objet spécifique. Plus fondamentalement, au niveau humain, ces lettres sont toutes reliées aux modèles neurophysiologiques élémentaires, à nos aptitudes biologiques à percevoir l’Univers.

Les lettres de L’Alphabet Sacré ne sont pas seulement des instruments permettant de sceller des idées sur une feuille de papier, elles sont, avant toute chose, des schémas précis renferment les principes de la Création.

L’alphabet hébreu est composé de 22 lettres, plus 5 finales et un système de vocalisation par signes diacritiques insérés au-dessus, au-dessous, ou dans les lettres.

L’ensemble des lettres de Aleph à Tav s’appelle autioth (auth au pluriel).
Auth veut dire « marque », « signe », ce n’est donc pas seulement une forme mais la voix à suivre qui conduit à la pensée puis à l’âme et à Ein Sof.

Auth (aleph vav tav) va de Aleph à Tav unit par Vav qui est la lettre de jonction.
Donc Auth montre l’union d’Aleph et de tav, le commencement et la fin du monde des lettres.

Chaque lettre correspond à un nombre d‘après sa place, à un idéogramme d’après sa forme, à un symbole d’après ses rapports avec les autres lettres.

Les forces créatrices de chaque lettres évoluent sur trois niveaux :

– Un degré archétypal des unités de la 1ère à la 9ème lettre,
– Un degré phénoménal des dizaines de la 10ème à la 18ème lettre,
– Un degré universel des centaines de la 19ème à la 22ème lettre.

Par ailleurs, le Sepher Yetsirah structure les 22 lettres en 5 niveaux:

22 lettres fondamentales : Il les a gravées avec la voix, les a sculptées avec le souffle, Il les a fixées dans la bouche, en cinq endroits :

– dans la gorge, aleph h’eith hé ayin
– dans le palais, guimel iod kaf qof
– dans la langue, daleth teith lamed noun tav
– dans les dents, zayin samek shin reish tsadé
– dans les lèvres, beith vav mem pé.

Ces cinq groupes représentent symboliquement les cinq apparitions de « Aur » (lumière) durant les jours de la création.

Les dix séphiroth, représentant les Dix Paroles de la Création, sont cinq face à cinq, comme les cinq doigts de la main; la petite valeur de « Aur » est égale à 11 (1+6+4), et 11 face à 11 = 22.

Les 22 autioth sont structurées en 3 lettres mères, 7 lettres doubles et 12 lettres simples.

3 lettres mères Aleph Mem Shin

Aleph Air air tempéré Poitrine
Mem Eau terre froid Ventre
Shin Feu cieux chaud Tête

Ces 3 lettres forment un triangle agissant comme un prisme qui décompose la lumière blanche en 7 couleurs.

Donc, l’action de ces 3 lettres mères décompose la Lumière Infinie « Ein Sof Aur » en 7 autres lettres dites doubles (= 2 prononciations possibles).

7 lettres doubles

Beith Haut Saturne Sagesse Folie OEil droit 1
Guimel Bas Jupiter Opulence Misère OEil gauche 2
Daleth Est Mars Semence Désert Oreille droite 3
Kaf Ouest Soleil Vie Mort Oreille gauche 4
Pép Nord Vénus Domination Servitude Narine droite 5
Reish Sud Mercure Paix Guerre Narine gauche 6
Tavt Milieu Lune Grâce Laideur Bouche 7

12 lettres simples

La toile de fond sur laquelle évoluent les 7 lettres doubles est divisée en 12 secteurs qui sont les 12 lettres dites simples.classees par

Constellations Nefesh Directions Mois
Hé : Bélier Main droite Limite supérieure Est Nissan
Vav : Taureau Main gauche Limite Nord-Est Iyar
Zaïn : Gémeaux Pied droit Limite inférieure Est Sivan
H’eith : Cancer Pied gauche Limite supérieure Sud Tamouz
Teith : Lion Rein droit Limite Sud-Est Av
Iod : Vierge Rein gauche Limite inférieure Sud Eloul
Lamed : Balance Foie Limite supérieure Ouest Tishri
Noun : Scorpion Rate Limite Sud-Ouest H’éshévan
Samek : Sagittaire Vésicule biliaire Limite inférieure Ouest
Kislév
Ayin : Capricorne Pancréas Limite supérieure Nord
Téveth
Tsadé : Verseau Estomac Limite Nord-Ouest
Shevat
Qof : Poissons Intestins ou nombril Limite inférieure
Nord Adar

Les 12 simples reposent sur : parole, pensée, vue, ouïe, locomotion, action, copulation, odorat,sommeil, colère, goût.

Les méthodes d’exégèse

La guématria

Méthode largement employée par les kabbalistes, qui permet de transformer un mot en nombre et un nombre en mot. C’est aussi cette méthode qui permet d’écrire les nombres en hébreu.

Le travail se déroule à différents niveaux :

– Commentaire d’un mot ou d’un ensemble de lettres à partir du sens symbolique des nombres correspondants.

– Explication, en plus de la valeur symbolique propre, par le sens de tous les mots dont la réduction numérique sera égale à ce nombre.

– 2 mots de même valeur numérique sont équivalents et peuvent se remplacer mutuellement.

9 unités de 1 à 9 de Aleph à Teith
9 dizaines de 10 à 90 de Iod à Tsadé
4 centaines de 100 à 400 de Qof à Tav.

Exemple :

Amour = ahavah (aleph hé beith hé) (1+5+2+5 = 13)
Unité = éh’ad (aleph h’eith daleth) (1+8+4 = 13)
Yhwh (10+5+6+5 = 26), soit 13 + 13 = 26

Donc amour + unité = Dieu ; ce que dit d’ailleurs la Kabbale : « Dieu est Amour et Unité ».

Il existe 13 méthodes différentes de guématria dont la plus courante est Raguil ou Mispar gadol

– La Témourah

Science de la combinaison et de la permutation des lettres ou art sacré des anagrammes.

– La Notarika

Science des abréviations consistant à obtenir de nouveaux mots avec les premières et les dernières lettres d’une phrase ou d’un mot. C’est la technique sacrée des acrostiches.

Le Tserouf ou Les 231 portes de l’esprit

Le Tserouf est la combinaison des 22 lettres hébraïques représentant les chemins qui relient les sphères de l’arbre kabbalistique. Le tarot et ses arcanes majeurs, constitue ce système de communication entre les dix séphirots de l’arbre.
C’est une des méthodes d’étude de leurs énergies mais aussi un moyen de purifier l’âme et le cœur du kabbaliste. Les permutations des lettres aident le pratiquant à se connecter au monde invisible, en réveillant les forces présentes en lui. Avec le Tserouf, le kabbaliste est dans l’étude du Verbe: il recherche à transcender la parole physique pour parvenir au Verbe divin caché au cœur de celle-ci.
Les consonnes sont identifiées au nefesh, le corps de la parole. Les voyelles sont quant à elles les souffles (les roua’h), les courants d’énergie dans la parole. Ce sont les voyelles qui apportent un dynamisme au mot.
Dans la kabbale, l’incarnation d’une âme est vue comme la combinaison de deux aspects de sa propre nature qui vont se concrétiser dans le monde d’ici-bas, de la même manière qu’une pensée se manifeste par des sons.
Une clé essentielle du Tserouf, est l’ouverture à notre conscience de l’énergie qui nous anime.
Cette énergie universelle circule en nous en passant par les sept chakras. Elle est de double nature, active et réceptive, montante et descendante reliant le ciel à la terre et la terre au ciel. En développant la puissance du verbe, nous pouvons exprimer de façon juste la puissance de notre pensée, c’est-à-dire ressentir l’essence de nos émotions pour les exprimer au travers de notre conscience en les conjuguant harmonieusement par la parole. C’est cette pratique de la conscience qui mène à la connaissance de soi.
La connaissance ou Daat, est la sphère cachée de la kabbale. Elle en est le but pour nous ouvrir à une authentique compréhension de notre soi, de notre nature, de notre incarnation. Elle est aussi la porte de ce que l’on appelle le troisième œil, l’ouverture de l’esprit à la conscience supérieure qui permet de distinguer le fond de la forme pour dépasser le monde des apparences.
C’est par la voie de la connaissance que nous pouvons convertir notre regard sur le monde qui nous entoure pour créer un équilibre et une relation harmonieuse avec nous-mêmes, nos semblables et l’univers qui nous invite à comprendre la beauté de la vie. C’est en ressentant profondément tous les aspects négatifs qui nous polluent que nous pouvons percevoir que la vie n’a pas pour essence la souffrance mais la joie d’exister ici au cœur de la matière.
Cette matière qui nous entoure, dans laquelle nous vivons est la vie sur cette terre que le créateur a voulue à son image. La vie est comme un diamant agissant comme un prisme brillant de mille éclats.
Le Tserouf nous permet de polir notre conscience pour que la lumière de l’esprit puisse rayonner sur les aspects sombres de l’existence. C’est par la lumière de notre soi que nous pouvons combattre la puissance négative de notre mental et combattre cette part d’ombre qui nous attache aux émotions négatives.
En utilisant les différentes représentations du Tserouf et surtout celle de Daat, vous pourrez méditer et pénétrer profondément l’essence des énergies qui nous animent pour les purifier.

Abraham Aboulafia et l’ange Raziel

« La langue de la Torah pure est un arc qui atteindra sa cible sans flèche, dans les cœurs des fous en les guérissant. » Sepher Sitre Torah

Le kabbaliste Aboulafia, auteur de nombreux ouvrages de Kabbale prophétique, aimait à se désigner lui-même par des noms possédant une valeur numérique équivalente à son nom. Ainsi, il choisit de revêtir le nom de Raziel dont la valeur guématrique était identique à celle d’Abraham. Raziel – רזיאל. De valeur 248. Abraham – אברהם – de valeur 248.

Aboulafia donnait une grande importance à la nouveauté et à l’originalité de ses prophéties. « Sache que la plupart des visions que vit Raziel étaient basées sur le Nom de Dieu et sur sa gnose, et aussi sur sa nouvelle révélation qui prit place sur la terre avec sa naissance et dont il n’y eut aucun équivalent depuis les temps d’Adam ».

Selon Aboulafia, les prophètes qui voient grâce à la connaissance du vrai Nom sont en même temps de véritables amants.

L’identité de la prophétie et de l’amour de Dieu est prouvée par la mystique des nombres. Celui qui sert Dieu par un amour pur est dans le droit chemin de la prophétie.

Dans son Sepher ha Yashar, Aboulafia raconte que lors de sa rencontre mystique avec l’ange Raziel, il reçut 10 paroles qu’il relie aux 10 Sephiroth. Ces paroles furent reçues « d’une seule voix et de sept langues différentes en elles ». Ces 10 paroles révélées par sept langues sont là une référence aux 70 langues divines dont la connaissance offre le don de prophétie.

L’ange Raziel

Raziel dont le nom signifie « Secret de Dieu » est l’ange du secret qui émane du côté droit de Métatron, il anime la Sephira Hokhmah en Briah.

RAZIEL est le gardien des techniques et secrets de la nature, il existe un « Livre de Raziel ».

« Quand Adam était dans le jardin d’Eden, le Saint, béni soit-Il, lui fit descendre un livre par l’entremise de RAZIEL, l’ange saint, qui a la charge des secrets suprêmes . En ce livre sont inscrits les signes suprêmes, la sainte sagesse et les soixante douze genres de sagesse y sont expliqués en six cent soixante dix signes secrets suprêmes. » (Zohar, Bereshith III).

« Tous les jours l’ange Raziel proclame, du haut du Mont Horeb, des cieux, les secrets des hommes à tous ceux qui résident sur la surface de la terre, et sa voix résonne dans le monde entier » Targum sur l’Ecclésiaste, X, 20.

 


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