Résonance

Les Glandes Endocrines et les Chakras

La glande désigne un organe doté d’une fonction d’élaboration de certaines substances régulatrices et de les sécréter dans une cavité de l’organisme ou à l’extérieur de lui. La glande endocrine, reliée à un chakra ou centre d’énergie subtil, appartient à l’espèce qui déverse sécrétions directement dans le sang.

Les fonctions subtiles des glandes du corps : Les glandes sécrètent un liquide spécifique directement dans le sang (glandes endocrines) ou à l’extérieur de l’organisme (glandes exocrines) manifestent de façon concrète les centres d’énergie subtils de l’anatomie ésotérique. Ils identifient des portes éthériques qui séparent les divers plans de conscience.

Les glandes endocrines, qui élaborent des hormones, affectent les processus mentaux et psychiques, favorisant autant la santé corporelle que l’évolution spirituelle. Elles gèrent la croissance, le bon fonctionnement de l’organisme tout entier, en plus d’affecter, dans une certaine mesure, les réactions mentales et sensibles (émotives) de l’être humain. Toutes ces glandes doivent fonctionner en harmonie pour maintenir un sujet dans l’ordre et l’équilibre.

Dans ce système, les glandes sexuelles comprennent les ovaires de la femme et les gonades de l’homme. Elles commencent à fonctionner vers la puberté, produisant les hormones responsables des caractères sexuels. Parmi les glandes, on peut mentionner le foie, les gonades, l’hypothalamus, les ovaires, le pancréas, les parathyroïdes, la pinéale, la pituitaire, la rate, les surrénales, le thymus et la thyroïde.


Le système exocrine comporte des glandes qui secrètent des substances dans le milieu extérieur de l’organisme, c’est-à-dire de la peau, du tube digestif ou de l’arbre respiratoire. Les glandes exocrines délivrent leur sécrétion par l’intermédiaire d’un canal excréteur (glande sudoripare: sécrètent la transpiration, glande mammaire: sécrètent le lait). Cela les distingue des glandes endocrines qui libèrent directement leurs sécrétions dans la circulation sanguine au niveau des capillaires sanguins. Les glandes exocrines sont catégorisées à partir de leur produit et de leur mode de sécrétion : les glandes mérocrines : la substance est enfermée dans les vésicules intracellulaires qui libéreront leur contenu par diffusion ou exocytose au moment de la sécrétion proprement dite.

Exemple : pancréas; les glandes holocrines : la cellule entièrement chargée de substance se détache de l’épithélium et se désintègre au moment de la sécrétion. Exemple : glande sébacée; les glandes apocrines : une partie de la cellule riche en sécrétion se fragmente et rejoint le canal excréteur. Exemple : glande mammaire.

Le système endocrinien désigne un réseau de glandes réparties à travers l’organisme. Ces glandes sécrètent des hormones qui sont libérées dans la circulation et qui parviennent à leur cible par le sang. Les hormones sécrétées par ces glandes servent de messagers chimiques qui contrôlent diverses fonctions, notamment la croissance, le métabolisme, le développement sexuel et la production des ovules et des spermatozoïdes. Ces substances, sécrétées par un organe endocrine ou élaborée par un tissu organique et déversée directement dans le sang, stimulent les actions biologiques spécifiques sur le fonctionnement de certains organes ou sur les processus biochimiques. Elles gèrent la croissance et l’évolution d’un être.

Quant à l’hormone de mort, mal connue par les scientifiques, elle s’active à la puberté, conformément à ce qui est encodé dans son ADN, pour permettre la transition d’un être, ce qui permet à la conscience de retourner temporairement à sa Source spirituelle pour s’alléger de ses expériences pénibles, tant qu’un sujet reste assujetti à des karmas. Elle cesse d’agir en état de méditation profonde, ce qui permet de régénérer l’être et d’accroître sa longévité


ÉPIPHYSE : Ce petit organe ovoïde, de la grosseur d’un pois, situé sous l’encéphale, à la base du cerveau, à la face postérieure du diencéphale, représente la glande la plus importante du corps. Malgré son poids d’un demi-gramme, elle dirige toute la symphonie endocrinienne, pouvant affecter puissamment le corps et l’esprit dans leurs fonctions normales. Elle sécrète notamment l’hormone de croissance qui agit sur tout le métabolisme, responsable de la taille et de la formation des os. Par la TTH, elle stimule la glande thyroïde, régissant son fonctionnement au niveau du métabolisme général. Par l’ACTH, elle active les surrénales, incitant l’organisme à réagir promptement en cas d’agression virale ou bactérienne, comme en cas d’intoxication, de pénétration d’un corps étranger, d’une blessure. Par la TSH, elle stimule le développement des follicules de l’ovaire de la femme, introduisant l’ovulation, favorisant, chez l’homme, la formation du sperme.

Par la LH ou l’ISH, elle supporte l’action de la TSH, favorisant la maturation de l’ovule et la production du corps jaune, chez la femme, mais déclenchant la sécrétion de la testostérone, chez l’homme. Par la LTH, elle force le développement du corps jaune et stimule la production de la progestérone, dont l’action s’exerce jusqu’à la fin de la grossesse. Par son action sur les estrogènes, elle stimule notamment le développement des seins et la production lactée. Son hormone la plus étrange reste la MSH, un neurotransmetteur putatif non toxique capable de calmer la douleur, d’améliorer les facultés cognitives, d’augmenter l’attention.

Elle sécrète encore l’ADH, hormone qui régit le métabolisme de l’eau. Quant à la vasopressine, hormone qui agit sur les tubes rénaux, elle contribue à régler la pression sanguine. Finalement, l’ocytocine agit au niveau de l’utérus. Mais son rôle ne s’arrête pas là. Par le lobe moyen, elle sécrète la MPH, une hormone influant sur la qualité de la peau, déclenchant la pigmentation, qui conditionne sa couleur pâle ou sombre. Elle sécrète probablement d’autres hormones, mais leur réalité et leur rôle restent négligeable ou inconnus. Voilà la glande pituitaire des Mystique, en relation avec le centre de l’orientation ou de la direction de toute l’énergie emmagasinée dans le centre situé au niveau de l’ombilic (hara). Son organe fonctionnel est l’hypothalamus. Les scientifiques découvriront un jour qu’elle capte autant l’oxygène que la force vitale pour les redistribuer à toutes les cellules du corps.

FOIE : Siège du courage, de l’amertume, soit du feu de la forge, organe de l’intégration des énergies accomplies, centre de l’esprit et de l’espoir, le foie régit la sensibilité et les sentiments, témoignant du degré d’adaptation d’un être à la Vie. Voilà le général courageux, aux vertus guerrières, qui élabore les plans de la destinée d’un être, l’induisant dans des expériences de colère et de passion pour l’aider à trouver l’équilibre et l’harmonie entre les extrêmes. Générateur des forces, il analyse petit morceau par petit morceau les nutriments qui lui sont offerts. Selon un programme défini, il établit les conditions préalables de leur participation à la vie du sujet. Il accroît la faculté d’analyser clairement les informations qui proviennent de l’instinct collectif pour aider à élaborer une personnalité spécifique, amère ou colérique. Il collabore à établir la limite entre ce qui est à accepter et ce qui est à rejeter.

C’est lui qui mène le dernier examen des produits procurés par l’estomac et l’intestin grêle. Il aide à faire confiance en apprenant à mieux gérer les réalités imprévisibles et surprenantes. Il aide à dégager une vision d’ensemble au lieu de s’enliser dans les détails. Il pondère l’incertitude du lendemain. Essentiellement un organe d’analyse, il opère le travail préparatoire sur la réalité. S’il échoue dans son entreprise, s’élabore une personnalité imbue de la mentalité de contrôle qui amène un sujet à stagner dans ses habitudes et dans ses conceptions toujours trop prévisibles. Et si ces prévisions sont déjouées par le mouvement incessant de la Vie, il est porté à réagir par la colère et l’hostilité.

Mais on ne peut parler du foie sans traiter de la vésicule biliaire. Ce réservoir de la bile, qui concentre le fiel, évoque la matrice du feu de la forge, identifiant le discernement, les choix judicieux, les prises de décision justes, la nécessité de voir clair et la rectitude profonde. Elle conserve le liquide qui permet de digérer les leçons provenant des événements de la vie. C’est le juge qui décide et peut condamner à l’aigreur. Il régit la digestion psychologique des événements. Il se déglingue par les inquiétudes relatives à un être cher. On a de la difficulté à canaliser ou à clarifier ses sentiments. On ne se sent pas reconnu par les autre

s, on ne se sent pas apprécié pour ce qu’on fait, on ne trouve pas sa place, on ressent une injustice à son endroit, on se sent obligé de justifier tous ses actes. On porte un sens du vrai et du juste assez confus ou plutôt excessif. On est porté à manipuler les autres et à les contraindre en se donnant des bonnes raisons de le faire. Les affections de la vésicule biliaire font surgir un manque de discernement pour prendre des décisions justes et éclairées. Incapacité d’y voir clair. Manque profond de rectitude, d’intégrité, d’honnêteté. Son énergie créatrice inexplorée est en train de se pétrifier.

HYPOPHYSE : Voilà la glande pituitaire, le troisième œil des mystiques situés dans la boîte crânienne, à la base du diencéphale, l’organe de l’horloge biologique du corps qui, en relation avec la lumière, régit les rythmes circadiens (veille et éveil). Elle détient un rôle de médiation entre le monde visible et invisible pour établir l’alliance du concret et de l’abstrait. Elle empêche l’avilissement d’un être qui pourrait devenir, sans elle, trop matérialiste et se lancer uniquement dans la quête d’un paradis artificiel de jouissances et d’acquisivité. Organe de la vision, subtile, support de la vraie compréhension, elle régit l’habilité psychique et les pouvoirs de médiumnité, accroissant en outre le pouvoir de l’imagination créatrice.

HYPOTHALAMUS : Dans le cerveau, l’hypothalamus gère beaucoup d’états psychiques qu’on attribuait autrefois à la glande pituitaire. Bien qu’il ne soit pas, à proprement parler, un centre directeur des sentiments et des émotions, il agit toutefois comme un poste-relais. Des filets nerveux, issus des plus hauts centres du cerveau, y aboutissent pour se lier à d’autres filets qui rejoignent la pituitaire. D’autres fibres nerveuses se dirigent vers la colonne vertébrale, se prolongeant, pour entrer plus loin dans le système nerveux autonome, système à partir duquel ils se dirigent vers le cœur, les vaisseaux sanguins, les surrénales, l’estomac et les autres viscères. L’hypothalamus constitue le centre d’origine des fibres nerveuses que constituent les nerfs sympathiques et parasympathiques. On peut ainsi comparer l’hypothalamus à une centrale téléphonique à trois branchements. Il met en contact les impulsions des centres nerveux mentaux les plus élevés du cerveau avec la pituitaire et le système autonome qui, à leur tour, peuvent entrer en relation l’un avec l’autre.

La stimulation de son noyau produit dans le corps les mêmes réactions qu’une forte stimulation de la division sympathique du système autonome qui, à leur tour, peuvent entrer en relation l’un avec l’autre. La stimulation de son noyau produit dans le corps les mêmes réactions qu’une forte stimulation de la division sympathique du système autonome : accélération des battements du cœur, élévation de la pression sanguine, dilatation de la pupille des yeux, hérissement des cheveux, augmentation de l’acuité mentale et inhibition des processus digestifs.

Au niveau de l’humeur, il peut engendrer la stupeur léthargique, la catalepsie et la rage violente. Voilà le centre supérieur de tout le système neurovégétatif et du système endocrinien. Il agit sur eux par l’intermédiaire de neuro-hormones qui déclenchent les sécrétions des diverses hormones hypophysaires. A proprement parler, il régit l’activité des organes constitutifs du corps à titre de la voix du corps dans le cerveau. Par le système neurovégétatif, il coordonne les relations entre les viscères et assure la régulation des fonctions végétatives (automatiques, indépendantes de la volonté). En général, il assume surtout un rôle d’exécuteur, ne pouvant ni analyser, ni réfléchir, ni contester les ordres reçus. On le considère comme le cerveau reptilien, un organe très suggestible. Les systèmes neurovégétatif et endocrinien exécutent ses ordres, intervenant au niveau des cellules, des tissus et des organes, pour une adaptation adéquate de l’organisme. Il informe également le cerveau de l’état général de l’organisme, faisant valoir les arguments biologiques dans les choix de l’action. On le considère comme l’Intendant de l’hypophyse.

OVAIRES : Les organes de reproduction féminins, dans lesquels se forment les ovules, produisent les œstrogènes qui précisent la polarité féminine, déterminent sa sexualité et supportent le phénomène de la gestation. Elles renvoient à ce qui est un œuf ou porte un œuf. Ils symbolisent la fertilité et la créativité féminines, la femme étant conçue comme l’organisatrice et la nourricière du Monde, comme l’être qui prodigue les soins, raffine et civilise l’humanité par ses attributs magnétiques. Capacité d’engendrer des projets, des idées, des sentiments.

PANCRÉAS : Cette glande abdominale en grappe de raisin sécrète un liquide (pancréatine) qui aide à compléter la digestion, une autre (insuline) qui régularise le taux de sucre, et des enzymes (labferment, amylase, trypsine, pepsine et lipase). Régi par le plexus solaire, il magnétise et métamorphose le sang. Il collabore étroitement avec les glandes parathyroïdes qui pondèrent l’action de la pituitaire, l’équilibrant. C’est l’une des premières glandes à être affectées en cas de tension nerveuse. Il détermine le degré de joie de vivre. C’est l’organe qui régit les énergies déposées dans la terre et restent en attente d’accomplissement. Appelé l’organe des profondeurs, il préside symboliquement à l’élaboration de la chair. Il régit une large part de la vie psychique, sexuelle, émotionnelle et passionnelle. On le relie à la sagesse et on l’associe au «Manipura». Il indique comment on domine ou maîtrise ses pulsions primaires. Puisqu’il régit le métabolisme du sucre, il symbolise les énergies qui permettent le passage de l’inaccompli à l’accompli ou de l’inachevé à l’achevé.

PARATHYROÏDES : Ces quatre petits organes (de la taille d’une lentille), disposés par deux, de chaque côté de la trachée, à la face postérieure de la thyroïde, sécrètent la prothormone qui régit le calcium et le phosphore de l’organisme, pondérant l’irritabilité des nerfs périphérique, comme la force et la souplesse musculaire. On les relie à l’harmonie, à la sérénité et au sentiment de sécurité.

PINÉALE : Logée dans le cerveau, près du cervelet, elle contiendrait des vestiges de tissus optiques, ce pour quoi elle réagit à des stimulations lumineuses par des impulsions nerveuses. C’est le point focal de l’énergie masculine de l’Esprit qui révèle le Pouvoir primordial du Ciel, gérant la volonté spirituelle et l’action créatrice de l’homme évolué. Elle est associée au chakra coronal, le «Brahmarandha», qui régit notamment le cerveau supérieur et l’œil droit. Voilà la Demeure du Fils qui établit la (connaissance du bien et du mal), soit la compréhension des opposés compatibles et complémentaires, qu’on pourrait appeler, en langage contemporain, l’ordinateur de bord de l’être incarné. C’est elle qui indique ce qu’un sujet doit faire pour connaître un sentiment ou une sensation qui fournissent des informations à l’âme. Elle permet la véritable participation à la vie, soit le désir d’en jouir, d’en faire un jeu amoureux. Elle contient le mode d’emploi pour retourner à la Source au moment opportun. On l’appelle aussi épiphyse.

PITUITAIRE : Cette petite éminence, en forme de pomme de pin, située un peu au-dessus des tubercules quadrijumeaux, dans le cerveau, aussi appelé épiphyse, constitue le Siège de l’âme ou le Trône de Dieu. C’est l’organe privilégié de la perception spirituelle par laquelle s’opèrent les premières transformations psychologiques après le contact avec l’âme. Elle commande à toutes les autres glandes et au cœur, gérant tout le biopsychique. Elle rend possible l’échange sexuel sans contact. Elle gère la vue physique et la vision subtile, comme les pouvoirs supérieurs du cerveau, notamment la télépathie et l’imagination. Elle fonctionne un peu comme un cristal géant en corrélation avec le cerveau abstrait. En cas d’un déficit hormonal d’une glande, elle élabore une hormone topique qui, par le courant sanguin, ira la stimuler pour rétablir l’équilibre. Elle suscite le dynamisme et l’enthousiasme qui permettent d’aboutir au succès. Elle favorise la soumission des forces du Principe féminin aux directives de l’Esprit. Favorisant la vision subtile, elle contrôle le cerveau inférieur, le nez et l’œil gauche.

Elle exprime l’idéalisme. Elle élabore les hormones qui accentuent la vision et l’intuition, amenant à juger correctement de ce qu’on perçoit par les yeux et le cœur. C’est le centre du non jugement où Dieu meurt en tant qu’homme, oubliant ses expériences passées de haine. Il concourt à l’élimination de la perception réduite de soi-même. C’est le centre de la chute de l’homme, où l’homme oublie ou retrouve Dieu. C’est là que s’élaborent les prémisses d’une prochaine incarnation si on ne sait pas cesser de se juger, de se culpabiliser, si on oublie de se pardonner tout à fait. On l’appelle aussi hypophyse.

RATE : Cet organe situé dans l’hypocondre gauche, entre l’estomac et les fausses côtes, forme la majorité des globules blancs, augmentant son régime en cas d’infection. Cimetière des cellules sanguines, il détruit les vieux globules rouges, de concert avec le foie, produisant des globules blancs pour la lymphe. Il emmagasine une partie du fer pour former de nouveaux globules qu’il libère dans la circulation si le besoin s’en fait sentir.

Il régit l’intellect, le raisonnement logique, la mémoire, le discernement, la clarté mentale, l’usage équilibré des polarités, la génitalité, la télépathie. Il détient une fonction de médiation entre le haut et le bas. Il agit comme l’entrepôt des énergies terrestres. Il démontre comment l’organisme acquiert son image, dans son ensemble, par le rassemblement de corpuscules épars, parfois hétérogènes. Il est associé au centre «Swadhistana», le centre sacré ou sexuel, ce qui le relie à la lumière intra-terrestre.

Ainsi, le petit soleil unit sa force solaire à celle du foie (la lumière extraterrestre) et à l’attraction terrestre (centre sacré). On l’appelle le chef d’orchestre des organes et des fonctions à titre de gardien des états supérieurs et de la plénitude de l’enfant solaire. Il régit l’émission du parfum subtil de l’être et sa note musicale.

On associe la rate à l’inconscient, donc à ce qui n’a pas affleuré à la lumière. On la relie au travail sur soi-même, au potentiel de recyclage des matériaux, de renouvellement des expériences, au processus de la mort et de la résurrection, à la descente dans les profondeurs de ses terres intérieures.

SURRÉNALES : Ces glandes situées au sommet de chaque rein agissent en lien étroit avec la thyroïde, contrôlant le bon fonctionnement des reins, de la vessie, de la colonne vertébrale. Elles sécrètent l’adrénaline qui engendre la stimulation autonome, accélérant notamment, au besoin, les battements du cœur, accroissant la conductibilité et la température du cerveau, mais diminuant la conductibilité et la température des autres organes. Elles accroissent les réflexes ou mécanismes de survie, en cas de danger, diminuent le stress et aident à développer le sentiment de sécurité.

TESTICULES : Les deux glandes sexuelles du mâle qui élaborent le sperme et produisent l’androstérone et la testostérone, les hormones qui déterminent les caractères sexuels, le développement sexuel et le bon fonctionnement de l’appareil génital, symbolisent la créativité masculine, le pouvoir brut, la fertilité et l’élan sexuel. On les associe à la conception de l’idée évolutive ou du projet évolutif. Leur forme ovoïde suggère la naissance ou la renaissance. En rêve, ils peuvent évoquer la stimulation sexuelle ou l’angoisse relative à sa puissance sexuelle. Parfois, ils traduisent l’audace pour accomplir une tâche.

THYMUS : Glande très apparente chez le nouveau-né, située au centre de la poitrine, sous le sternum, à la pointe supérieure du cœur, qui perd du volume avec les années, à défaut d’être maintenue en activité, ses cellules migrant vers d’autres régions du corps. Dans l’enfance, elle stimule la croissance, la formation des os et le métabolisme général, les anticorps, la lymphe et les globules rouges. En relation avec le plexus solaire et le centre cardiaque, elle contribue à accroître l’énergie amoureuse (amour inconditionnel et impersonnel), la joie, la satisfaction, le contentement. Elle gère les aspirations les plus profondes, transmettant les appels incessants de l’âme à évoluer, suscitant la paix et l’harmonie. Facteur de croissance physique et d’expansion spirituelle, elle assure l’équilibre des polarités pour assurer la stabilité et la continuité de la vie.

Elle fusionne les énergies du Ciel et de la Terre, assurant la cohésion des énergies qui entretiennent la vie. Elle distille des hormones qui stimulent le cœur et maintiennent le système énergétique en équilibre. Extrêmement sensible aux radiations présentes dans l’atmosphère, elle sert de résonateur et d’amplificateur des énergies. Elle sert de réservoir qui emmagasine le trop plein du centre cardiaque et le redistribue en temps de carence, déterminant l’état d’esprit. Baromètre ou régulateur du corps, elle fournit la panacée universelle, l’énergie d’immunité, dégénérant si on entretient des habitudes de vie malsaine ou si on accorde trop d’importance au mental (intellect). Elle assume la défense du cœur et de l’énergie vitale qui y circule.

THYROÏDE : Situé de chaque côté de la gorge, sous la pomme d’Adam, cette glande travaille en étroite relation avec les surrénales, aidant à ajuster l’organisme physique à son environnement émotionnel, agissant comme l’amortisseur de chocs engendrés dans le corps. Sa thyroxine stimule le système nerveux.

Elle règle l’émanation des ondes courtes des cellules du corps, produisant un effet de luminescence chimique, ce qui augmente la conscience. Une thyroïde saine favorise la vivacité et la curiosité de l’esprit, donnant une personnalité alerte, évolutive, dynamique, adaptable, souple, inventive, responsable. Elle assure l’équilibre dans l’utilisation des moyens d’expression verbale, non verbale et sexuelle. Elle constitue la porte de la maturation qui permet la transition, le passage et la métamorphose d’un état dense à un état subtil.

Deuxième glande en importance du corps, la thyroïde déverse de l’iode dans le sang pour l’aseptiser. Sa thyroxine active l’utilisation des éléments et de l’oxygène, activant l’élimination de l’eau par les tissus et les cellules, régissant l’accroissement de la taille, déterminant le poids personnel. Elle agit sur le développement des organes sexuels, surtout à la puberté, en période de grossesse et à la ménopause. Elle favorise le rétablissement après une maladie grave. Elle règle les battements du cœur et le fonctionnement des poumons.

Elle favorise le développement intellectuel. Elle favorise les échanges entre les cellules et leur milieu ambiant. Elle stabilise le taux de cholestérol dans le sang. Elle supporte toute lutte contre les agressions menées contre l’organisme. Elle est considérée comme le siège de l’intelligence. Secrétant l’iode, elle stimule le Yod cabalistique, soit le Verbe. Elle détermine la Porte de l’Un au septuple ou du septuple à l’Un. La thyroïde réalise l’union des diverses sources énergétiques de tous les niveaux (énergies ambiantes, énergies intra-terrestres, énergies extraterrestres, énergies systémiques, énergies en provenance des sept super-univers et énergies en provenance de l’Île centrale ou du Soleil cosmique). Elle est associée au «Vishuddha», le centre laryngien de l’Arbre de vie.

En passant, la glande pinéale, qui correspond au «Brahmaranda» du Yoga, désigne l’épiphyse et elle est figurée inactive par un ovoïde horizontal et active par un genre de phallus dressé. La glande pituitaire, qui correspond à l’«Ajnâ» du Yoga, désigne l’hypophyse.

Bertrand Duhaime


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