Mystères

Le portail stellaire du pharaon Scorpion 1er

Des technologies antédiluviennes héritées des Égyptiens...

Au début du XXe siècle, les services secrets allemands et russes attachaient une grande importance à l’occultisme et à l’ésotérisme. Croyant que les connaissances secrètes se trouvaient dans différentes parties du monde, de nombreuses expéditions furent envoyées au Tibet, en Égypte, en Asie centrale, en Afrique, en Amérique centrale et du Sud et dans la péninsule arabique.

Les spécialistes allemands travaillant en Égypte dans les années 1930 pouvaient se targuer de résultats extrêmement intéressants.

Nous allons parler d’un mystérieux pharaon nommé Scorpion 1er, dont les informations sont désormais conservées à Londres. Une histoire à la manière d’Indiana Jones.


En 1936, Waldemar Lutz mène une expédition en Égypte. Au cours de cela, il a été possible de parvenir à un accord avec des chercheurs locaux qui ne disposaient pas de financements suffisants pour fouiller des objets découverts accidentellement. Les Allemands disposaient des fonds nécessaires et proposèrent leur aide en échange de leur participation au projet. Il s’agissait du tombeau du pharaon Scorpion Ier. Il régna vers 3300-3200 avant JC.

Les Allemands se sont intéressés à lui car des histoires anciennes incroyables sont associées à cette personne. Par exemple, les Égyptiens croyaient que le pharaon Scorpion Ier, utilisait une technologie spéciale, et pouvait contacter les sages des étoiles pour résoudre les différends après les avoir consultés. Pour prendre des décisions fatidiques, le souverain se rendait dans son temple, où se trouvait une certaine installation, un appareil ou dispositif permettant de communiquer à distance avec les sages des étoiles.

Les Allemands croyaient qu’il s’agissait de représentants d’une civilisation antérieure qui s’était envolée de la Terre et avait créé son propre empire quelque part dans d’autres systèmes stellaires. Mais comme les technologies étaient uniformes, le contact avec leur planète d’origine était maintenu. À un moment donné, une catastrophe s’est produite sur Terre et la civilisation a péri, et certains aspects techniques ont été attribués à l’humanité future en Égypte, au Tibet, en Inde et en Amérique du Sud.

Guidés par cette logique, les Allemands voulaient rassembler autant de technologies similaires que possible. Ils étaient censés aider à l’essentiel : la domination du monde entier.


Waldemar Lutz, captivé par l’idée de découvrir l’appareil du pharaon – Scorpion Ier, s’est rendu à plusieurs reprises en Egypte. Au total, il a participé à 16 expéditions et fouillé plus de 40 structures anciennes. Mais il ne parvint pas à retrouver le tombeau du souverain déclaré. Les pistes des chercheurs locaux se sont révélées erronées.

Les bâtiments fouillés étaient certes anciens, mais Waldemar Lutz n’a pas réussi à trouver quoi que ce soit de commun avec le tombeau du pharaon ou le temple où il communiquait avec les sages des étoiles. Bien que jusqu’en 1942, les Allemands recherchaient activement l’artefact qui les intéressait. Cependant, il a réussi à rassembler 6 sources écrites, vieilles de plusieurs milliers d’années, où des sages stellaires étaient mentionnés. Il s’est avéré que les pharaons suivants, au moins deux, ont utilisé cette technologie.

Des documents confirmant l’existence de l’artefact ont été livrés à l’Allemagne.

Les égyptologues allemands ont littéralement traduit son nom par « portail des étoiles ». Le principe de fonctionnement était très vaguement compris. Des cristaux ou des minéraux spéciaux ont été insérés dans les rainures et un « liquide brûlant » a été versé au centre de la boule. Cela l’a mis en mouvement, les minéraux ont libéré de l’énergie et une image est apparue au centre.

Le souverain d’Égypte posait la question, et la réponse lui parvenait verbalement. Au même moment, deux autres personnes étaient présentes – des proches prêtres qui notaient les réponses reçues. Pharaon ne se souvenait pas de tout. Des dizaines et des centaines de personnes se tournaient vers lui chaque jour pour lui faire part de leurs problèmes. Certains d’entre eux ont été résolus par le souverain égyptien lui-même, tandis que d’autres, les situations les plus difficiles, ont dû être résolus avec l’aide des sages des étoiles.

Lorsqu’on apprit que l’Allemagne s’effondrait sur toute la ligne de front, les services de renseignement britanniques emmenèrent Waldemar Lutz et d’autres spécialistes à Londres. Les documents ont bougé avec lui, mais pas tous. Ce n’est qu’en 1946, au cours des débats d’après-guerre, que les Britanniques réussirent à livrer les matériaux restants et certains artefacts demandés par Waldemar Lutz. Trois ans plus tard, il décède dans d’étranges circonstances.

Mais pendant ce temps, les Allemands ont réussi à mener une autre expédition, cette fois dans le cadre des services de renseignement britanniques, intéressés à trouver un « portail stellaire ». Au cours de celle-ci, Voldemar apprit l’emplacement approximatif du temple où se déroulaient les séances de communication. De retour à Londres avec cette information, l’archéologue fut éliminé. De plus, seuls les Britanniques et les Américains se sont rendus dans la région, ce qui n’est encore indiqué nulle part.

Jusqu’à une certaine époque, c’est-à-dire jusqu’au milieu des années 80, seuls eux effectuaient des fouilles. Qu’il ait été possible ou non de trouver le portail mystérieux est une question ouverte. Il n’a pas été possible de trouver des détails sur l’artefact appartenant à Scorpion 1er.

Probablement, au cours de décennies de recherches archéologiques, ils ont découvert quelque chose. Peut-être même le temple lui-même. On ne sait pas si l’installation s’y trouvait ou non. Mais si l’on suppose qu’il a été découvert, la méthode de travail est décrite de manière très vague. N’oubliez pas que des millénaires ont passé et qu’un appareil technique pourrait tout simplement cesser de fonctionner. Cette option ne doit pas non plus être exclue.

Au cours de la dernière décennie, de plus en plus d’informations ont été diffusées sur Internet selon lesquelles les civilisations anciennes possédaient des compétences techniques héritées soit de l’humanité précédente, soit de celles arrivées sur Terre en provenance d’autres planètes. L’Egypte ne fait pas exception à la règle. Il existe de nombreux moyens techniques décrits dans des sources anciennes, et il semble inapproprié d’attribuer ces faits à des fantasmes ou à des interprétations incorrectes.


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